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A propos

La Sierra de Andujar – qui fait partie de l'imposant massif granitique de la Sierra Morena, s'étendant sur 450 km d'est en ouest - est située au nord-est de Cordoba en Andalousie et à deux pas de la ville d'Andujar.

Un Parc Naturel de 74.774 Ha permet d'assurer la valorisation de cette zone de forêt Méditerranéenne – écosystème de très grande importance – essentiellement constituée de Chênes vert et de Chênes lièges matures, accueillant un cortège faunistique et floristique associés à ce type de milieux.


   

   


Le Pôle d’Equilibre Territorial et Rural (PETR) du Pays du Bocage est une structure de développement local qui couvre l’ouest de l’Orne.

Son territoire compte 86 communes et environ 90 000 habitants.

Dans le cadre de ses missions d’ingénierie territoriale, le Pays du Bocage accompagne les porteurs de projets publics ou privés dans leur démarche de création et de développement.

Le Pays du Bocage possède une longue expérience dans l’animation et la gestion du programme européen LEADER. Depuis les années 1990, 4 programmes de fonds européens ont été portés par le Pays du Bocage et ont permis de financer des projets structurants sur le territoire.

Site Internet du PETR - Pays du Bocage

Le Moulin d'Ancette est un moulin hydraulique, à farine. Il est situé sur le canal (bief) de l'Ancette qui est une dérivation de la rivière l'Ance du Nord, d'une longueur de 65 km qui prend sa source à 1345 m d’altitude, sur la commune de Valcivières (Puy-de-Dôme) et rejoint la Loire à Bas-en Basset (Haute-Loire).

Géographie

Le bief est connu pour la pureté de ses eaux, on notera la présence de moules perlières (espèce protégée). La rivière est un paradis pour les pécheurs : présence de truite fario, ombre commun, chabot, lamproie etc.

Le bief (ou béal, ou canal) : 1200 mètres de long entre la chaussée sur l’Ance et le moulin d’Ancette, il y a 1.34 m de hauteur sur la chaussée.

Cette rivière prend sa source à 1435 mètres d'altitude sur la commune de Valcivières, au col des Supers, dans le Puy-de-Dôme. elle rejoint la Loire à Bas-en Basset en Haute loire et parcourt environ 65 kilomètres. Elle traverse d'Ouest en Est la commune de Saint Julien d'Ance.

Il y a eu jusque 11 moulins sur la localité de Saint Julien d'Ance.

Sur la rive droite de la rivière, le volcan des Chaffoix a couvert presque toute la partie sud de roches basaltiques dont les prismes écroulés forment "une rivère de pierre3" très spectaculaire de près de un kilomètre en surplomb du village de Bourianne, ce lieu est appelé la "coulée de lave de Bourianne".

Architecture

Le moulin d'Ancette est un moulin à chéneaux ouverts avec 4 roues horizontales.

Ce moulin patrimonial fonctionne par entraînement par eau, avec :

  • Une passerelle avec un système de quatre vannes plus une vanne de décharge pour canaliser l'eau vers les goulottes et rejeter dans le bief
  • Un chéneau (ou goulotte) par meule pour amener l'eau : Le chéneau était auparavant taillé dans un tronc d'arbre.

L’eau met en mouvement des roues horizontales. Cette technique nécessite peu d'eau ; une faible chute suffit ; c'est la vitesse de l'eau et non le poids de l'eau (contrairement à une roue à aube verticale) qui fait tourner la roue ; cette technique était très développée dans la région.

  • Le débit disponible de la rivière varie de 0,6 à 2 m3/s (hors crues)
  • La chute est de 2,50 m environ
  • La force motrice est de 13 chevaux
  • Le moulin a 3 paires de meules ayant chacune une spécialité.
  • La roue entraîne à la fois les meules et le blutoir : voir l'originalité du pignon d’angle en bois qui démultiplie le mouvement et fait tourner le blutoir
  • une potence : système de préhension permettant de soulever les meules pour les piquer ou les réparer ; tous les 6 mois environ; appareil de levage de l'époque.
  • une roue horizontale à cuillères (ou godets) fixées à la circonférence de la roue pour recevoir l'eau motrice. Initialement ils étaient en bois, comme sur la roue du fond. Plus tard ils ont été remplacés par des godets en fonte.
  • Une paire de meules en pierres meulières, venant des ateliers de la Ferté sur Jouarre en Seine et Marne, fleuron de la production et ont été acheminées par le chemin de fer jusqu'à Craponne, vers les années 1920 lorsque le moulin tournait à plein.
  • La meule tournante est la meule supérieure ; celle du dessous, la meule gisante ou dormante, est fixe.

Caractéristiques : poids : 800 kg, diamètre des trois paires : 1,5 m, hauteurs 24 cm pour les meules dormantes et 24 cm pour les meules tournantes Matériaux en silex ; les pierres étaient piquées régulièrement, tous les 6 mois.

  • La trempure est un système de tige filetée qui permet de régler l'écartement des meules,
  • L'anille, pièce en fer qui soutient la meule supérieure avec un blutoir (un tamis en forme de cylindre, avec un axe incliné) pour tamiser la farine4,5,6 et séparer le son de la farine. A l'origine la toile était en soie ; elle a été restaurée en nylon. La maille de la toile est de moins en moins fine, en partant de la gauche vers la droite ; au début la farine la plus fine pour le pain ; puis farine à son ; puis le son qui s'évacue à l'extrémité du blutoir.
  • Une trémie : la réserve de grains : au dessus de la meule. Voir la trémie de l'avant dernière meule : elle date de 1858 et est en parfaite état de conservation,
  • Le système a été mis en place au moyen âge, il consiste à écraser les grains entre les deux pierres, l'une inférieure, fixe, ou dormante, l'autre, supérieure et tournante.
  • L'archure est un coffrage circulaire qui entoure les meules.
  • Le grain est versé dans une trémie qui surplombe les meules et s'infiltre par l'oeillard, l'évidement central de la meule supérieure.
  • La farine est rejetée sur les bords et tombe dans une rigole où elle tombe dans des godets qui l'emmènent vers le blutoir.

Pour de la farine traditionnelle, le rendement normal d'un moulin était entre 200 et 400 kilos de farine par 24H.

Le meuleton du moulin d'Ancette aurait 500 ans d'âge, le pourtour en bois du meuleton apparaît comme très ancien, en tout cas antérieure de plusieurs siècles à la dernière transformation du moulin, et pourrait être un témoignage des premiers temps du moulin. Le diamètre du meuleton est de 160 cm.

Le meuleton est équipé d'une monolithe de pays très épaisse, conique, 45 à 47 cm.

On mettait deux doubles décalitres d'orge, soit environ 35 kilos de grains et la pierre roulait dessus pendant 3 heures. Un râteau en face de la pierre tournait le grain et cela sortait la coquille de l'orge. Il a été particulièrement utilisé pendant la guerre où il tournait 24H/24 avec deux ouvriers, l'un aidant au moulin et l'autre faisait la tournée des fermes pour prendre le grain ou déposer la farine.

Le meuleton servait à faire de l'orge perlée (consommée par l'homme, notamment pendant la guerre) et pour "piquer" ou mailler le trèfle ; pour cela on arrachait les fleurs de trèfle avec un peigne, on faisait ensuite sécher et on le piquer puis on vannait ; le trèfle est une graminée destinée à l'alimentation des ruminants; le tour en bois de la meule qui sert à l’orge perlée, apparaît comme très ancienne, en tout cas antérieure de plusieurs siècles avant la dernière transformation, et pourrait être un témoignage des premiers temps du moulin.

On faisait de la soupe avec l'orge perlée ; à cette époque, il fallait plus de 3 heures pour fabriquer 35 kilogrammes d'orge perlée.

Toutes les pièces en bois ont été travaillées par un maître de la varlope et du rabot, Celestin Bergeron, spécialiste des moulins artiste paysan de la commune.

L'installation dans la région de moulins industriels a contraint Joseph Salanon à arrêter la fabrication de la farine panifiable en 1936 puis la farine pour animaux et fermer son entreprise en 19768 .

En 1991, l'Association des Amis de Saint Julien d'Ance passionnée du patrimoine de la commune, sauvegarde le patrimoine et rénove le moulin. Pendant 20 ans le moulin est laissé à l'abandon et l'association reprend ses activités meulières suite au décès du meunier.

Les nouveaux travaux ont conduit à son inauguration le 17/9/2017 à l'occasion des Journées européennes du patrimoine.

Histoire

Autrefois, la vallée de l'Ance du Nord comptait de nombreux moulins sur trois départements (Puy de Dôme, Haute Loire et Cantal) dont huit moulins sur la commune de Saint Julien d'Ance (Peret, Ancette, Le Rodier, Mignard, Giroux, Le Fieu) et la majorité ont disparu ont été transformés en usines électriques.

Un même bâtiment pouvait regrouper plusieurs meuniers, utilisant le même bief mais imposés séparément.

Il ressort de l’exploitation des archives du Moulin, la présence très ancienne d’un moulin à Ancette. Si la date de sa construction n’est pas connue, sa présence est attestée le 2 octobre 1345 quand Hugues de Villedieu fait un don à Hugues de Chateauneuf, chanoine de Brioude.  

Le moulin d'Ancette a pris la place en 1868, d’un autre beaucoup plus ancien, attesté dès avant 1345.

Le revenu du moulin est alors composé de seigle, d’avoine et d’argent à prendre, entre autres, sur le moulin d’Ancette.

S’il y a un seul canal et un seul bâtiment dans lequel sont installées les paires de meules, du début du xvie siècle jusqu’au milieu du xixe siècle, le bâtiment était divisé en deux, avec deux entrées, et exploité par deux familles de meuniers, Salanon et Odier.

Depuis 1470 jusqu’à aujourd’hui, est connu le nom de tous les meuniers qui se sont succédé au moulin d’Ancette soit dans une partie de celui-ci, soit dans le moulin entier.

Le Moulin a été transmis de génération en génération. De 1470  jusqu’au moins 1525, le moulin a été exploité par la famille Dancette, puis a semblé tomber en déshérence, par suite de l’extinction de cette lignée. Ensuite se sont succédé les familles Blanc, Marconnet, Salanon-Audier, et Salanon. Sa réhabilitation permettra de conserver et transmettre l'activité et la vie des meuniers de cette vallée.

Jeanne Marie Nuel, veuve de Jean Benoit Salanon partage ses biens entre ses enfants le 30/06/1896 et certains biens du moulin (bois et prairies) passent alors sous la propriété de Joachim Chevalier, le grand père de Micheline Chevalier Bontemps et arrière grand-père des propriétaires actuels : Isabelle, Paul et Gilles Bontemps.

Le moulin tourna professionnellement jusque l’avant-guerre. Il produisait principalement de l'orge perlée ainsi que de l'huile de Colza et de noix. Il s'agissait d'un moulin à façon : les agriculteurs amenaient leur grain et récupéraient ensuite la farine.

Pendant la guerre de 14-18 le patron du moulin travaillait avec 2 ouvriers ; l'un aidait au moulin ; l'autre faisait la tournée des fermes, par voiture à cheval ; lever à 4 heures ; 12 à 15h de travail ; 30 francs par mois nourri logé

L’ensemble actuel est composé de quatre paires de meules, il a tourné professionnellement jusqu’à l’avant-guerre, puis à seule fin domestique (nourriture des animaux de la ferme d’Ancette) jusqu’en 1976.

Après guerre, le moulin était utilisé à seule fin domestique (farine animalière pour la nourriture des animaux) jusqu’en 19762[réf. nécessaire]. Il était équipé de quatre paires de meules, 2 à farine panifiables, une à farine pour animaux et un meuleton à orge perlée permettant la fabrication de la fameuse soupe d'orge. Les meules étaient entraînées chacune par une roue horizontale à cuillères en bois[réf. nécessaire]2.

Généalogie des meuniers

En 1606 Benoit Salanon était propriétaire du moulin d'Ancette explique Joseph Salanon, dans l'article paru dans la revue Renouveau.

Joseph Salanon, dit « Jojo », décédé en Juin 2014 à 82 ans, était le représentant de la 12ème génération en ligne directe des Salanon2, meuniers d’Ancette, et de la 15ème génération de la même famille qui, avec Pierre Blanc, acheta le moulin le 25 juillet 1537.

Antoine Dancette possédait le moulin en 1470.

Un acte de vente sur parchemin 10 de vessie de veau, du 13 mai 1513 entre Jean et Thomas d'Ancette à Pierre Blanc.

Benoit Salanon est devenu propriétaire en 1606 en épousant une fille Blanc.

Les nouveaux propriétaires de ce bien familial, Isabelle et Gilles Bontemps souhaitent faire revivre le patrimoine du moulin avec l'association Les amis de Saint Julien d'Ance, ils reçoivent ensemble FR3 le 13/6/2017.

Le point blanc dans la branchie de la truite fario est une larve de moule perlière

Faune du canal d'Ancette

Les moules perlières11 (Margaritifera) du canal d'Ancette : Dans ce canal, l'écosystème est abondant et on y trouve une espèce fragile : les moules (ou mulettes) perlières qui y éclosent dans les branchies des truites fario. Sur le bassin de l'Ance du Nord, le recensement de 2010 a permis de dénombrer presque 6500 individus vivants. [archive]

Le canal d'Ancette regorge également d'écrevisses (Pacifastacus Leniusculus) qui détruit l'écrevisse authochtone à pattes blanches, en colonisant les mêmes endroits elle parvient à l'éradiquer.

Flore

Le bief du moulin est bordé de fleurs sauvages comme la pimprenelle, la pulmonaire, la reine des près.

On y trouve aussi de nombreux Saules et Sureaux.

La Drôme est un cours d’eau de type préalpin qui présente des traits méditerranéens déjà marqués (calme en été, violente à l’automne et au printemps) ; l’irrégularité de son régime est fortement liée à la fonte des neiges et à la pluviométrie automnale.

De 110,7 km de longueur, la Drôme prend sa source dans le Diois, au col de Carabès dans la commune de La Bâtie-des-Fonds à 1.262 m d'altitude, au sud du massif du Vercors. Lors de sa traversée des montagnes du Haut-Diois, dans une vallée encaissée, elle connaît un régime torrentiel. Près de Luc-en-Diois, au site dit du Claps, la Drôme fait un saut, c'est l’une des curiosités locales. À partir de Crest, la vallée s’élargit et la pente diminue.

Les risques d’inondations sont importants et ses crues justifieraient l'étymologie issue du mot grec signifiant « la course ». La Drôme est par ailleurs l'une des dernières rivières sans barrage de toute l'Europe.

C'est dans cette section du cours d'eau, de Die jusqu'à Aouste-sur-Sye en passant par Saillans, que la Drôme est un lieu de plaisance important avec de nombreuses possibilités offertes aux touristes (baignade, canoë, kayak, rafting, pêche, randonnée, etc) en saison estivale.

La basse vallée de la Drôme est une unité de paysage du Valentinois caractérisée par un chenal large et peu profond, à bras multiples, mal fixé sur des galets calcaires et encombré de bancs sableux. Elle a donc un champ d’inondation large et une tendance à la défluviation. Pour protéger les terres agricoles, une partie de la Drôme, en aval, fut endiguée dès la fin du xviiie siècle jusqu'en 1960. Depuis la ville de Crest jusqu'à la confluence avec leRhône, 35 km de berges ont été aménagées.

Les alluvions apportées par les eaux torrentielles de la Drôme édifièrent peu à peu des terrasses atteignant près de 30 mètres d’épaisseur à Allex. Cette dynamique est dite périglaciaire : les ruissellements d’eau de pluie et de fonte des neiges entraînèrent des matériaux divers qui s’accumulèrent dans la basse plaine de la Drôme.

Les dépôts périglaciaires abondants de la Drôme formèrent, à la confluence, une vaste plaine alluviale en éventail (cône de déjection) qui rejeta progressivement le cours du Rhône au pied des versants ardéchois.

Sa confluence a lieu sur la commune de Livron-sur-Drôme (sur sa rive droite) et sur celle du Pouzin (sur sa rive gauche). La commune ardéchoise du Pouzin a la particularité de s'étendre sur la rive gauche du Rhône à cet endroit là.

(Source Wikipedia)

Le Parc naturel du Détroit (Parque natural del Estrecho, en espagnol) est un espace protégé situé à l'extrême sud de l'Espagne. Il protège le territoire littoral compris entre la Ensenada de Getares (Algésiras) et le Cap de Grâce (Tarifa). Déclaré parc naturel en 2003, il s'étend sur une superficie de 18.910 hectares. Il s'agit de l'espace naturel le plus méridional d'Europe, qui allie des qualités écologiques, paysagères, historiques et culturelles singulières.

Les côtes du parc sont bordées par deux mers, la mer Méditerranée à l'est et l'océan Atlantique à l'ouest. Le Détroit de Gibraltar, qui unit ces deux mers et sépare l'Europe du continent africain, est un lieu de passages pour les oiseaux migrateurs et les mammifères marins. La distance minimale entre les deux continents étant de 14 km, le Détroit est depuis des temps préhistoriques une voie de migration humaine.

L'union des deux mers fait du milieu marin une enclave privilégiée qui abrite une biodiversité exceptionnelle d'un intérêt extraordinaire. Le climat de la zone se distingue par des températures très douces et une saison sèche marquée par une absence totale de pluies.

Depuis octobre 2006, le parc fait partie de la réserve de biosphère intercontinentale de la Méditerranée avec le Maroc.

Richesses faunistiques et floristiques

On peut différencier dans le parc différents écosystèmes, chacun avec sa flore caractéristique. Le plus abondant est le maquis méditerranéen : il recèle d'espèces telles que le palmier nain, la bruyère, le pistachier lentisque, ainsi que d'autres espèces xérophiles. Les bois sont principalement constitués de chênes-liège, côtoyant à certains endroits des pins. Les forêts caractéristiques des rivages, les canutos, sont peuplées de chênes zéens, de rhododendrons ponticum et de nombreuses espèces de fougères.

La faune présente elle aussi une grande variété. Les oiseaux migrateurs naviguant entre l'Afrique et l'Europe se comptent par dizaines de milliers. Les grands mammifères sont moins abondants que dans le parc voisin des Alcornocales, en raison du terrain accidenté et de la végétation essentiellement rampante. L'on trouve cependant des rats des pharaons et des genettes d'Europe, tout comme d'autres petits mammifères.

Du côté de la faune et de la flore marines, des prairies sous-marines d'angiospermes ont été localisées en divers endroits du parc, de manière parcimonieuse à la forte houle. La faune est exceptionnelle. De nombreuses espèces de cétacés évoluent dans les eaux du parc et au large des côtes : rorquals communs, grands dauphins,orques, cachalots, baleines bleues, ...

(Source Wikipedia)

La sierra de Gredos est un massif montagneux d'Espagne appartenant au Système central, située entre les provinces d'Ávila, Cáceres, Madrid et Tolède. Son point culminant est le pic Almanzor, dans la province d'Ávila, à 2.592 mètres d'altitude. Elle englobe un parc régional.

Gredos est le massif principal du Système central. Elle comprend cinq vallées fluviales : Alto Tomes, Alto Alberche, Tiétar Oriental, Tiétar Occidental et la Vera, et la vallée de Ambroz.

   

L'entrée par le nord de la Sierra offre des formes douces d'origine glaciaire, composées de cirques et de lacs, tandis que l'approche par le sud ouvre sur des murailles granitiques avec des versants ciselés de façon abrupte par la lente action de l'érosion qui a jouée sont rôle au fil des millénaires.

Présentation du projet "BAC"

Comme première action collective pour une Base Alimentaire Commune, il s'agit :

  • d'élaborer un modèle alimentaire global, réaliste, interactif et pérenne,
  • associant un régime alimentaire accessible, diversifié et sain, 
  • cohérent avec les capacités nourricières de notre Pays de Fayence ;
  • et d'organiser sa mise en œuvre progressive à l'échelle de notre territoire de vie (le Pays de Fayence).

État des lieux rapide des besoins alimentaires et des productions du Pays de Fayence

Afin d'évaluer la capacité du territoire à nourrir ses habitants par ses propres productions (= capacité nourricière), un premier tour d'horizon rapide est effectué en croisant les besoins alimentaires de base d'un humain, les productions agricoles nourricières actuelles et potentielles et en tenant compte de la saisonnalité de ces paramètres.

Axes de travaux prioritaires du groupe

Les besoins identifiés précédemment, les compétences et les centres d'intérêts des membres actuels du groupe amènent à choisir les axes de travail suivant :

  • travailler en priorité sur la production maraîchère, en association avec une production fruitière et privilégier les interactions territoriales ; 
  • élaborer un modèle de production maraîchage/verger, qui soit économe, productif et facilement adaptable en fonction des conditions environnementales et administrative des surfaces disponibles et des personnes impliquées sur un site de productions (=oasis) ;
  • expérimenter ce modèle sur divers sites et en réaliser un suivi sur une année (2019) ;
  • communiquer et informer les habitants sur projet (actions pédagogiques à organiser) ;
  • développer et coordonner un réseau d'entraide et de soutien à cette démarche, incluant tous les acteurs et créer des interactions « gagnant-gagnant ».

Et moi dans tout ça ?

Pourquoi ne pas rejoindre notre groupe : les DODOS nourriciers ?
…Et si vous avez un terrain disponible, un jardin à valoriser ou pour apporter votre pierre à cet édifice, vous pouvez bien sûr nous contacter.



…Et il y a ausi le groupe "Dodos-collapso" ÷)

En parallèle de cette première action et dans l'élargissement thématique souhaité par les DODOS-Pays de Fayence, un groupe de travail se structure pour aborder le sujet suivant :
"3ème révolution et adaptation aux impacts climatiques"


> source

> le sujet vous intéresse et/ou vous souhaiteriez avoir plus de prises sur les événements ?
Participez à nos ateliers de réflexion / actions. Contactez-nous : 
dodos-pdf@bio-scene.org

Démarche non mercantile de valorisation de la biodiversité à travers la diffusion des connaissances, la diversité des points de vue et l'usage coopératif du multimédia.